Le Vocabulaire météorologique international (issu de l'Organisation Météorologique Mondiale en 1992) définit le "cyclone tropical" appelés aussi "ouragan" comme une ''perturbation d'échelle synoptique non accompagnés d'un système frontal, prenant naissance au-dessus des eaux tropicales ou subtropicales et présentant une activité convective organisée ainsi qu'une circulation cyclonique, plus intense en surface qu'en altitude''…
Plus simplement, dans certaines circonstances, des formations nuageuses (eaux chaudes sur une grande profondeur) se développent et s'enroulent autour d'un centre de rotation, formant un cercle. C'est cette perturbation atmosphérique composée de nuages organisés en bandes spiralées qu'on appellera cyclone tropical. Au sein de ce tourbillon, la pression atmosphérique va baisser créant une dépression.
La masse nuageuse occupe toute la troposphère et atteint 12 à 15 kilomètres d’épaisseur. Le cyclone tropical fonctionne comme une "machine thermique géante" en transformant de la chaleur en mouvement. L’énergie provient principalement de la chaleur latente transportée depuis l’océan par la vapeur d’eau. Cette énergie est considérable. On l’estime à l’équivalent de 10 bombes atomiques à chaque seconde.
Les cyclones tropicaux constituent un phénomène naturel, un régulateur thermique de la planète. Ils transportent le trop-plein d’énergie des Tropiques vers les Pôles. Au cours de leur traversée sur l’océan, ils rencontrent parfois des zones habitées. On estime que 15% de la population mondiale vit dans des régions menacées par les cyclones.
Le cyclone de l’Océan indien est sans aucun doute la catastrophe naturelle atmosphérique la plus meurtrière. En effet, il regroupe inondations et tornades, tout en étalant ses ravages sur de très vastes zones et pendant de longues heures (une tornade F 5, bien plus puissante certes, ne dure que quelques minutes et a un diamètre de quelques centaines de mètres).
Ces phénomènes météorologiques sont à la base des plus importants dégâts matériels et humains, avec ses vents forts, ses précipitations très intenses et sa lenteur pour traverser une région. Le diamètre d'un cyclone varie considérablement : de 100 km au début de sa formation jusqu'à 1000 km lorsqu'il arrive à maturité. Le centre du cyclone appelé "oeil du cyclone" en raison de sa forme est une zone très calme, les vents soufflent à 30 ou 40 km/h, les précipitations sont nulles et la pression atteint son minimum. En revanche, dans l'anneau les vents atteignent plus de 118 km/h.
Le cyclone se déclenche quand l’air s’approche de la surface de l’eau et se répand brutalement à l’horizontale. Attiré par la dépression créée par l’œil du cyclone, l’air s’engouffre en spirale comme une fumée tourbillonnante dans une cheminée. La vitesse s’accélère et le cyclone apparaît.
Les cyclones se forment sur des mers surchauffées et l’évaporation des océans alimentent ces cyclones qui viennent "mourir" sur les terres.
une centaine de cyclones tropicaux est une moyenne annuelle sur les océans . Ils provoquent la mort de 20 000 personnes environ, et les plus violents engendrent des dégâts considérables. Ces redoutables cumulonimbus donnent des pluies d’une intensité inimaginable pour un européen.
La vitesse des vents de l'anneau permet de caractériser la puissance et l'impact d'un cyclone sur l'échelle de Saffir-Simpson : de la classe 1 (force des vents de 118 à 153 km/h) avec des dégâts minimums, à la classe 5 (vents supérieurs à 249 km/h). C'est le cas du cyclone Katrina qui est estimé entre 4 et 5. Les prévisionnistes de la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) estiment qu'il y aura cette année de 9 à 11 cyclones dans l'Atlantique Nord mais qui ne seront pas forcément de la même intensité.
Carte des Systèmes Actifs à cet instant précis
Plus simplement, dans certaines circonstances, des formations nuageuses (eaux chaudes sur une grande profondeur) se développent et s'enroulent autour d'un centre de rotation, formant un cercle. C'est cette perturbation atmosphérique composée de nuages organisés en bandes spiralées qu'on appellera cyclone tropical. Au sein de ce tourbillon, la pression atmosphérique va baisser créant une dépression.
La masse nuageuse occupe toute la troposphère et atteint 12 à 15 kilomètres d’épaisseur. Le cyclone tropical fonctionne comme une "machine thermique géante" en transformant de la chaleur en mouvement. L’énergie provient principalement de la chaleur latente transportée depuis l’océan par la vapeur d’eau. Cette énergie est considérable. On l’estime à l’équivalent de 10 bombes atomiques à chaque seconde.
Les cyclones tropicaux constituent un phénomène naturel, un régulateur thermique de la planète. Ils transportent le trop-plein d’énergie des Tropiques vers les Pôles. Au cours de leur traversée sur l’océan, ils rencontrent parfois des zones habitées. On estime que 15% de la population mondiale vit dans des régions menacées par les cyclones.
Le cyclone de l’Océan indien est sans aucun doute la catastrophe naturelle atmosphérique la plus meurtrière. En effet, il regroupe inondations et tornades, tout en étalant ses ravages sur de très vastes zones et pendant de longues heures (une tornade F 5, bien plus puissante certes, ne dure que quelques minutes et a un diamètre de quelques centaines de mètres).
Ces phénomènes météorologiques sont à la base des plus importants dégâts matériels et humains, avec ses vents forts, ses précipitations très intenses et sa lenteur pour traverser une région. Le diamètre d'un cyclone varie considérablement : de 100 km au début de sa formation jusqu'à 1000 km lorsqu'il arrive à maturité. Le centre du cyclone appelé "oeil du cyclone" en raison de sa forme est une zone très calme, les vents soufflent à 30 ou 40 km/h, les précipitations sont nulles et la pression atteint son minimum. En revanche, dans l'anneau les vents atteignent plus de 118 km/h.
Le cyclone se déclenche quand l’air s’approche de la surface de l’eau et se répand brutalement à l’horizontale. Attiré par la dépression créée par l’œil du cyclone, l’air s’engouffre en spirale comme une fumée tourbillonnante dans une cheminée. La vitesse s’accélère et le cyclone apparaît.
Les cyclones se forment sur des mers surchauffées et l’évaporation des océans alimentent ces cyclones qui viennent "mourir" sur les terres.
une centaine de cyclones tropicaux est une moyenne annuelle sur les océans . Ils provoquent la mort de 20 000 personnes environ, et les plus violents engendrent des dégâts considérables. Ces redoutables cumulonimbus donnent des pluies d’une intensité inimaginable pour un européen.
La vitesse des vents de l'anneau permet de caractériser la puissance et l'impact d'un cyclone sur l'échelle de Saffir-Simpson : de la classe 1 (force des vents de 118 à 153 km/h) avec des dégâts minimums, à la classe 5 (vents supérieurs à 249 km/h). C'est le cas du cyclone Katrina qui est estimé entre 4 et 5. Les prévisionnistes de la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) estiment qu'il y aura cette année de 9 à 11 cyclones dans l'Atlantique Nord mais qui ne seront pas forcément de la même intensité.
Carte des Systèmes Actifs à cet instant précis
Le Vocabulaire météorologique international (issu de l'Organisation Météorologique Mondiale en 1992) définit le "cyclone tropical" appelés aussi "ouragan" comme une ''perturbation d'échelle synoptique non accompagnés d'un système frontal, prenant naissance au-dessus des eaux tropicales ou subtropicales et présentant une activité convective organisée ainsi qu'une circulation cyclonique, plus intense en surface qu'en altitude''…
Plus simplement, dans certaines circonstances, des formations nuageuses (eaux chaudes sur une grande profondeur) se développent et s'enroulent autour d'un centre de rotation, formant un cercle. C'est cette perturbation atmosphérique composée de nuages organisés en bandes spiralées qu'on appellera cyclone tropical. Au sein de ce tourbillon, la pression atmosphérique va baisser créant une dépression.
La masse nuageuse occupe toute la troposphère et atteint 12 à 15 kilomètres d’épaisseur. Le cyclone tropical fonctionne comme une "machine thermique géante" en transformant de la chaleur en mouvement. L’énergie provient principalement de la chaleur latente transportée depuis l’océan par la vapeur d’eau. Cette énergie est considérable. On l’estime à l’équivalent de 10 bombes atomiques à chaque seconde.
Les cyclones tropicaux constituent un phénomène naturel, un régulateur thermique de la planète. Ils transportent le trop-plein d’énergie des Tropiques vers les Pôles. Au cours de leur traversée sur l’océan, ils rencontrent parfois des zones habitées. On estime que 15% de la population mondiale vit dans des régions menacées par les cyclones.
Le cyclone de l’Océan indien est sans aucun doute la catastrophe naturelle atmosphérique la plus meurtrière. En effet, il regroupe inondations et tornades, tout en étalant ses ravages sur de très vastes zones et pendant de longues heures (une tornade F 5, bien plus puissante certes, ne dure que quelques minutes et a un diamètre de quelques centaines de mètres).
Ces phénomènes météorologiques sont à la base des plus importants dégâts matériels et humains, avec ses vents forts, ses précipitations très intenses et sa lenteur pour traverser une région. Le diamètre d'un cyclone varie considérablement : de 100 km au début de sa formation jusqu'à 1000 km lorsqu'il arrive à maturité. Le centre du cyclone appelé "oeil du cyclone" en raison de sa forme est une zone très calme, les vents soufflent à 30 ou 40 km/h, les précipitations sont nulles et la pression atteint son minimum. En revanche, dans l'anneau les vents atteignent plus de 118 km/h.
Le cyclone se déclenche quand l’air s’approche de la surface de l’eau et se répand brutalement à l’horizontale. Attiré par la dépression créée par l’œil du cyclone, l’air s’engouffre en spirale comme une fumée tourbillonnante dans une cheminée. La vitesse s’accélère et le cyclone apparaît.
Les cyclones se forment sur des mers surchauffées et l’évaporation des océans alimentent ces cyclones qui viennent "mourir" sur les terres.
une centaine de cyclones tropicaux est une moyenne annuelle sur les océans . Ils provoquent la mort de 20 000 personnes environ, et les plus violents engendrent des dégâts considérables. Ces redoutables cumulonimbus donnent des pluies d’une intensité inimaginable pour un européen.
La vitesse des vents de l'anneau permet de caractériser la puissance et l'impact d'un cyclone sur l'échelle de Saffir-Simpson : de la classe 1 (force des vents de 118 à 153 km/h) avec des dégâts minimums, à la classe 5 (vents supérieurs à 249 km/h). C'est le cas du cyclone Katrina qui est estimé entre 4 et 5. Les prévisionnistes de la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) estiment qu'il y aura cette année de 9 à 11 cyclones dans l'Atlantique Nord mais qui ne seront pas forcément de la même intensité.
Carte des Systèmes Actifs à cet instant précis .
Plus simplement, dans certaines circonstances, des formations nuageuses (eaux chaudes sur une grande profondeur) se développent et s'enroulent autour d'un centre de rotation, formant un cercle. C'est cette perturbation atmosphérique composée de nuages organisés en bandes spiralées qu'on appellera cyclone tropical. Au sein de ce tourbillon, la pression atmosphérique va baisser créant une dépression.
La masse nuageuse occupe toute la troposphère et atteint 12 à 15 kilomètres d’épaisseur. Le cyclone tropical fonctionne comme une "machine thermique géante" en transformant de la chaleur en mouvement. L’énergie provient principalement de la chaleur latente transportée depuis l’océan par la vapeur d’eau. Cette énergie est considérable. On l’estime à l’équivalent de 10 bombes atomiques à chaque seconde.
Les cyclones tropicaux constituent un phénomène naturel, un régulateur thermique de la planète. Ils transportent le trop-plein d’énergie des Tropiques vers les Pôles. Au cours de leur traversée sur l’océan, ils rencontrent parfois des zones habitées. On estime que 15% de la population mondiale vit dans des régions menacées par les cyclones.
Le cyclone de l’Océan indien est sans aucun doute la catastrophe naturelle atmosphérique la plus meurtrière. En effet, il regroupe inondations et tornades, tout en étalant ses ravages sur de très vastes zones et pendant de longues heures (une tornade F 5, bien plus puissante certes, ne dure que quelques minutes et a un diamètre de quelques centaines de mètres).
Ces phénomènes météorologiques sont à la base des plus importants dégâts matériels et humains, avec ses vents forts, ses précipitations très intenses et sa lenteur pour traverser une région. Le diamètre d'un cyclone varie considérablement : de 100 km au début de sa formation jusqu'à 1000 km lorsqu'il arrive à maturité. Le centre du cyclone appelé "oeil du cyclone" en raison de sa forme est une zone très calme, les vents soufflent à 30 ou 40 km/h, les précipitations sont nulles et la pression atteint son minimum. En revanche, dans l'anneau les vents atteignent plus de 118 km/h.
Le cyclone se déclenche quand l’air s’approche de la surface de l’eau et se répand brutalement à l’horizontale. Attiré par la dépression créée par l’œil du cyclone, l’air s’engouffre en spirale comme une fumée tourbillonnante dans une cheminée. La vitesse s’accélère et le cyclone apparaît.
Les cyclones se forment sur des mers surchauffées et l’évaporation des océans alimentent ces cyclones qui viennent "mourir" sur les terres.
une centaine de cyclones tropicaux est une moyenne annuelle sur les océans . Ils provoquent la mort de 20 000 personnes environ, et les plus violents engendrent des dégâts considérables. Ces redoutables cumulonimbus donnent des pluies d’une intensité inimaginable pour un européen.
La vitesse des vents de l'anneau permet de caractériser la puissance et l'impact d'un cyclone sur l'échelle de Saffir-Simpson : de la classe 1 (force des vents de 118 à 153 km/h) avec des dégâts minimums, à la classe 5 (vents supérieurs à 249 km/h). C'est le cas du cyclone Katrina qui est estimé entre 4 et 5. Les prévisionnistes de la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) estiment qu'il y aura cette année de 9 à 11 cyclones dans l'Atlantique Nord mais qui ne seront pas forcément de la même intensité.
Carte des Systèmes Actifs à cet instant précis .
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